Août 28

Jean-Luc Mélenchon : ?Appel à la marche sur le traité européen le trente septembre prochain

estvales

« Cette campagne revêt à mes yeux une importance majeure. Les « bénis oui-oui » du traité européen le savent ! Seule « la rue », comme ils disent, peut faire capoter le projet du PS et de la droite unis pour faire passer le traité ! Tout leur calcul est de réussir cette fois-ci comme en février dernier avec le MES un passage en force en étouffant toute possibilité pour le grand nombre de se rendre compte de ce qui se passe. C’est pourquoi le nouveau gouvernement se donne tant de mal à vouloir empêcher que le trouble de sa propre majorité se voie, alors même qu’il sait d’avance que le vote de la droite et de des oui-ouistes de l’assemblée lui donne une majorité parlementaire. La présence du « non de gauche » en masse dans la rue modifie la donne. Il donne à voir la force intacte de ceux qui n’acceptent pas. Donc il pèse sur la décision de chaque député et sénateur au moment de son vote, comme sur le chef de l’Etat qui a le pouvoir de convoquer le référendum. Il donne de la force à la motion référendaire que déposeront sans doute nos groupes. Cette marche sera le marqueur politique qui signalera le niveau de conscience acquis à propos du piège qu’est ce traité européen. Sa réussite ne concerne donc pas un parti, une personnalité ni même notre Front de gauche mais tout le mouvement social. Notre but n’est donc pas de faire « notre »  marche mais de nous faire récupérer et de nous dissoudre dans la marche de tous à gauche contre le traité. »

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Août 28

Jean-Luc Mélenchon : Appel à la marche sur le traité européen le trente septembre prochain

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« Cette campagne revêt à mes yeux une importance majeure. Les « bénis oui-oui » du traité européen le savent ! Seule « la rue », comme ils disent, peut faire capoter le projet du PS et de la droite unis pour faire passer le traité ! Tout leur calcul est de réussir cette fois-ci comme en février dernier avec le MES un passage en force en étouffant toute possibilité pour le grand nombre de se rendre compte de ce qui se passe. C’est pourquoi le nouveau gouvernement se donne tant de mal à vouloir empêcher que le trouble de sa propre majorité se voie, alors même qu’il sait d’avance que le vote de la droite et de des oui-ouistes de l’assemblée lui donne une majorité parlementaire. La présence du « non de gauche » en masse dans la rue modifie la donne. Il donne à voir la force intacte de ceux qui n’acceptent pas. Donc il pèse sur la décision de chaque député et sénateur au moment de son vote, comme sur le chef de l’Etat qui a le pouvoir de convoquer le référendum. Il donne de la force à la motion référendaire que déposeront sans doute nos groupes. Cette marche sera le marqueur politique qui signalera le niveau de conscience acquis à propos du piège qu’est ce traité européen. Sa réussite ne concerne donc pas un parti, une personnalité ni même notre Front de gauche mais tout le mouvement social. Notre but n’est donc pas de faire « notre »  marche mais de nous faire récupérer et de nous dissoudre dans la marche de tous à gauche contre le traité. »

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Août 27

Non au tour de passe passe : référendum sur le traité européen

N’ayant pas de majorité à gauche au Congrès, le président de la République rêve de ne pas avoir à modifier la constitution pour pouvoir faire ratifier le nouveau traité européen qui vise à graver le refus de tout déficit budgétaire ad vitam eternam. Sa dernière trouvaille consisterait à modifier la constitution pour renvoyer vers une loi organique cette inscription.
De qui se moque-t-on : dans la Constitution ou dans la loi organique, c’est pareil. Ce qui est inacceptable, c’est l’austérité et l’obsession de la baisse des dépenses publiques.
Au lieu de chercher à cacher le contenu  du nouveau traité européen, François Hollande devrait au contraire organiser le débat public pour que le peuple français sache ce qui l’attend si ce traité est ratifié. Monsieur le Président, un peu de courage. Consultez le peuple. Organisez le référendum au lieu de chercher un minable tour de passe passe.
Martine Billard, co présidente du Parti de Gauche

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Août 25

Mélenchon, le retour

jlmdessin Par Ariane Walter , le 25 août 2012.

En France, le seul homme politique à faire de la politique avec talent, c’est Mélenchon. La politique cet art ancien qui, dès les premières civilisations, se voue à l’organisation de la cité. Une cité, on l’imagine, est faite d’intérêts divergents, d’inévitables conflits qui voient le plus souvent les puissants l’emporter. Le grand homme politique s’occupe de la défense des faibles car l’harmonie de tous, comme dans un orchestre, est la règle d’or du vivre ensemble. Chacun joue son rôle dans la symphonie. Chacun doit être entendu et respecté. Les puissants, n’en doutons pas, s’occupent d’eux tout seuls. Voilà pourquoi cet homme politique a un don, celui de la parole, qu’il exerce dans une sorte d’urgence oppressante, dans un engagement passionné où il jette toute sa force de conviction.Lire la suite

 

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Août 25

Ayrault interpellé

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Jean-Luc Mélenchon a invité plusieurs représentants de luttes politiques et sociales a interpellé le premier ministre lors de son meeting de rentrée à Grenoble.

Gabriel Amard tout d’abord, président de la Communauté d’agglomération des Lacs de l’Essonne, victime d’une campagne de déstabilisation menée par SUEZ suite à la création d’une régie publique de l’eau à Viry-Chatillon. Cette campagne a été commanditée au cabinet Vae Solis, à l’époque dirigé par l’actuel chef de cabinet de Stéphane Le Fol. Gabriel Amard, qui a porté plainte pour trafic d’influence, demande que la législation sanctionnant ces méthodes soit renforcée.
Elodie Groutsche, syndicaliste, a rappelé le long combat des FRALIB, qui réclament aujourd’hui de pouvoir récupérer la marque Elephant en obligeant Unilever à leur céder. Plus largement, elle a demandé à ce qu’une loi soit votée pour permettre la réquisition d’une marque lorsqu’elle est en soi associée au patrimoine français.
Enfin, le syndicaliste Franck Perrin, au nom des salariés de THALES, a demandé à ce que l’Etat, actionnaire de l’entreprise à 41 %, fasse immédiatement stopper la cession du groupe.6
Lors de ce meeting, Jean-Luc Mélenchon s’est également entretenu en direct avec Julian Assange, qui demande à la France d’intervenir pour que soit respecté son droit d’asile diplomatique accordé par l’Equateur.3

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Août 21

Saint-Martin d’Hères / Grenoble 2012 – du 23 au 26 août 2012

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Programme des Estivales citoyennes du Parti de Gauche (23 et 24 août).

 

Programme des Estivales citoyennes du Front de Gauche (25 et 26 août).

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Juil 03

Sommet UE : « Seules les banques sortent victorieuses du sommet européen » (PGE)

Les chefs d’État de nos pays reviennent du sommet européen en déclarant bien fort qu’ils ont arraché des victoires pour leurs peuples, des inflexions de la part de la Chancelière Merkel, de Mario Draghi ou de Jean-Claude Junker. Ils auraient, pour la 19ème fois depuis le début de la crise, « sauvé l’Europe ». François Hollande déclare même que l’Europe est « réorientée » dans le bon sens. C’est de la publicité mensongère.
Le projet de pacte budgétaire sort intact de ce qui devait être une « renégociation » et le volet croissance de François Hollande n’a aucune valeur juridique. Qu’elles soient directes ou indirectes, financées par le MES ou non, toutes les soi-disantes « aides financières » seront une nouvelle fois payées par les citoyens européens, via les coupes budgétaires et les attaques aux droits des travailleurs. Toutes les dispositions adoptées au nom de la solidarité avec l’Italie et l’Espagne ne sont que des mesures de socialisation massive des pertes. S’ajoutent la perte de la souveraineté des peuples et le recul de la démocratie parlementaire.
La vérité est la suivante : les négociations dans l’UE libérale se jouent à 27, mais c’est toujours les banques qui gagnent. Nous appelons toutes les femmes et les hommes de gauche, tous les élu-e-s qui sont dans les parlements, à se mobiliser pour empêcher la ratification de ce pacte funeste dans nos pays.
Seule une refondation de l’UE peut permettre une sortie de crise. Nous le répéterons tant qu’il faudra : l’austérité amène la récession. Il ne peut y avoir de croissance dans ce cadre. Nous proposons une alternative :
– une solution européenne pour les insoutenables dettes publiques existantes, qui prévoie une réduction importante de leur volume,
– changer le rôle et les missions de la BCE pour encourager la création d’emplois et la formation, pas les spéculateurs,
– créer une nouvelle institution : une banque publique européenne, financée par la BCE et la taxation des transactions financières, dont les fonds serviraient exclusivement a favoriser l’investissement public dans les services publics et le développement industriel durable,
– harmoniser par le haut les droits des travailleurs et tous les droits sociaux.
Pierre Laurent, Secrétaire National du PCF, Président du PGE (France),
Alexis Tsipras, Président de Syriza, Vi-Président du PGE (Grèce),
Paolo Ferrero, Secrétaire national de Rifondazione communista (Italie),
Cayo Lara, Porte parole d’Izquierda Unida (Espagne),
Jose-Luis Centella, Secrétaire général du PCE (Espagne),
Katia Kipping & Bernd Riexinger, Coprésidents de Die-Linke (Allemagne)

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Juin 26

Un coup d’index sur le changement !

La nouvelle est tombée hier en fin d’après-midi le  communiqué de presse de Matignon est venu agoniser espoirs du changement comme la lame de la guillotine sur le pauvre supplicié !
Brutale et prévisible, acérée et tranchante comme une taille dans nos vies ! « La maitrise  des comptes public est une nécessité », « l’engagement est clair : il s’agit de réduire le déficit public à 3% »
Plus loin on comprend mieux l’ampleur : « Conformément aux engagements pris, les effectifs de l’Etat connaîtront une stabilité globale. Les créations d’emplois seront réservées à l’enseignement, à la police, la gendarmerie et la justice. Des efforts seront nécessaires pour les autres ministères afin de respecter cet objectif de stabilité. Ces efforts seront définis, sur la base des propositions des ministres, dans un objectif d’équité et de qualité des services publics. »lire la suite sur le blog d’Alain Bousquet

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Juin 13

PG en résistance

Les candidats titulaires du PG sous la bannière Front de Gauche, présents dans 98 circonscriptions métropolitaines, ont obtenu en moyenne 6,74% des voix. Ils atteignent ainsi le score national du Front de Gauche alors qu’ils concourraient dans des circonscriptions souvent difficiles où le PCF n’avait pas atteint les 5% en 2007 dans 90% des cas !
Ces 5% sont désormais franchis par les candidats PG dans les trois-quarts des circonscriptions. Y compris dans des départements ou circonscriptions réputés difficiles pour la gauche comme le Var, la Savoie, les Alpes-Maritimes, le Bas-Rhin, le Vaucluse, la Vienne, la Seine-et-Marne, les Hauts-de-Seine, l’Yonne ou l’Aveyron où Guilhem Serieys fait plus que multiplier par 4 le score du PCF lors des précédentes législatives. Et même quand ils ne parviennent pas à franchir les 5%, les candidats PG doublent souvent les voix obtenues en 2007 comme en Côte d’Or, dans l’Ain, dans les Côtes d’Armor, en Meurthe-et-Moselle, dans la Marne ou en Haute-Marne où Céline Surel multiplie par 4 le score du PCF.
Les candidats du PG dépassent les 7% dans une trentaine de circonscriptions, dans le Rhône, le Gard, le Doubs, la Dordogne, l’Isère, la Gironde ou encore les Pyrénées-Orientales.
Et ils dépassent les 10% dans 14 circonscriptions.
Dans le contexte national d’un Front de Gauche durement touché par l’abstention, les candidats PG parviennent même à améliorer le score du Front de Gauche à la présidentielle dans cinq circonscriptions. Outre Jean-Luc Mélenchon lui-même dans le Pas-de-Calais, c’est aussi le cas de Marc Dolez dans le Nord (31%), de François Delapierre en Essonne (16,7%), de Joseph Rossignol dans le Val-de-Marne (16,5 %) et de Patrick Viverge dans le Jura (14,74%). Parmi eux seul Marc Dolez sera en lice pour le second tour.
Les autres candidats du PG à franchir les 10% sont Danielle Simonnet (16,3%), Martine Billard (13%) et Leila Chaibi (11,6%) à Paris, Hayat Dalfa en Seine-Saint-Denis (14,2%), René Revol (12,6%) et Myriam Hubert (10,4%) dans l’Hérault, Marie Batoux à Marseille (11,2%), Gabriel Amard en Essonne (11,2%) et Michel Larive en Ariège (10,9%).
Tout proches des 10 %, on trouve Jean-Louis Pin dans les Alpes-de-Haute-Provence (9,8%), Corinne Morel-Darleux dans la Drôme (9,5%) et Véronique Louis en Ardèche (9,2%) qui font plus que doubler le résultat du PCF en 2007.
La gauche en tête
La gauche sort incontestablement victorieuse de ce premier tour. Le total gauche atteint 47,75% contre 35,56 en 2007. En cinq ans, la gauche, tous candidats confondus, gagne 3 millions de voix pour atteindre 12,4 millions de suffrages. Pour autant, cette nette victoire n’est pas un raz-de-marée : le total gauche reste par exemple inférieur à celui du premier tour de 1997 où la gauche avait cumulé 49% des voix.
Incontestablement, l’électorat de gauche qui s’est déplacé l’a fait pour soutenir la majorité présidentielle de François Hollande. S’il n’y a pas de vague rose, le PS obtient tout de même 29,35% auxquels il faut ajouter les 10% obtenus par ses alliés EELV, PRG et MRC. Pour autant, avec 10 millions de voix, la majorité présidentielle perd un million de voix par rapport au 22 avril dernier. Elle ne rassemble que 22% des inscrits. Au premier tour, la majorité de Sarkozy rassemblait 27% des inscrits en 2007 et la « gauche plurielle » 29% des inscrits en 1997. Sans enthousiasme, le PS profite donc à plein d’un vote légitimiste encouragé par les appels à « donner une majorité au président ».
Le Front de Gauche pâtit de l’abstention
Le Front de Gauche confirme sa place de deuxième force à gauche. Le résultat global du Front de Gauche (1,8 million de voix, 6,91%) est nettement supérieur au résultat du seul PCF en 2007 (1,1 million de voix, 4,29%). Si le Front de Gauche perd 2,2 millions de voix par rapport à la présidentielle, c’est moins que le FN qui en perd 3 millions. Mais c’est plus que la majorité présidentielle et même que la droite parlementaire pourtant défaite en mai.
Le recul en voix du Front de Gauche entre le 22 avril et le 10 juin semble s’expliquer par une plus grande abstention des électeurs de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle. On ne constate pas de transfert massif de voix de Jean-Luc Mélenchon vers les candidats du PS aux législatives. Au niveau national, si le Front de Gauche recule de 2,2 millions de voix, le PS recule également. Les résultats dans les départements ayant le plus voté pour Jean-Luc Mélenchon confirment cette analyse. En Seine-Saint-Denis, les résultats du 10 juin donnent les mêmes scores aux deux forces politiques qu’à la présidentielle.
La plus forte mobilisation des électeurs socialistes est fatale à plusieurs députés sortants du FG. Dix des dix-neuf sortants FG sont devancés par les candidats PS au premier tour. Au total, les candidats FG franchissent les 12,5% des inscrits dans 19 circonscriptions mais n’arrivent en tête de la gauche que dans dix d’entre d’elles. Le Front de Gauche n’aura plus de député dans le Val de Marne ni en Seine-Maritime, et devrait n’en garder qu’un dans les Hauts-de-Seine et deux en Seine-Saint-Denis.
Une force large et plus homogène
Malgré ce tassement, l’enracinement du Front de Gauche se poursuit. Sur les 539 circonscriptions métropolitaines, les candidats FG franchissent les 10% dans 89 circonscriptions réparties dans une quarantaine de départements alors que, en 2007, le PCF n’atteignait ce score que dans 53 circonscriptions réparties dans une trentaine de départements.  Au total, le Front de Gauche dépasse les 5% des exprimés dans 332 circonscriptions alors que en 2007, le PCF ne franchissait cette barre que dans 130 circonscriptions.
Ces résultats confirment l’émergence d’un électorat FG spécifique qui ne recoupe pas entièrement l’électorat traditionnel du PCF. Ils montrent aussi l’homogénéisation du vote Front de Gauche dans le pays.

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Juin 12

COMMUNIQUÉ •Réaction du Parti de Gauche 1er tour des élections législatives

Déclaration du Parti de Gauche
Le premier tour de ces élections législatives révèle une fois de plus la crise profonde de la 5ème République, comme en témoigne le record d’abstention. Le présidentialisme, renforcé par l’inversion du calendrier et l’absence de réelle campagne civique en faveur de l’élection des représentants à l’Assemblée nationale auront achevé de détourner plus de 2 électeurs sur 5 de ce scrutin déterminant.
Le bipartisme sort également renforcé du scrutin, dominé par un vote légitimiste de soutien au Parti socialiste dans le cadre de la majorité présidentielle. Le Parti de Gauche déplore l’absence d’une véritable campagne nationale posant les enjeux de cette élection. Aucun débat de confrontation politique digne de ce nom n’aura en effet été organisé pour permettre aux citoyens de se forger leur opinion de façon libre et éclairée. Bien que quatrième force politique du pays et deuxième force à gauche, le Front de Gauche risque de n’avoir que 10 députés, dont Marc Dolez dans la 17ème circonscription du Nord, dont nous saluons l’élection. A la proportionnelle, avec 6,91%, en progression de 61% par rapport aux scores comparables de 2007, le Front de Gauche aurait 40 députés.
Dans ce cadre, la candidature de Jean-Luc Mélenchon à Hénin Beaumont avait pour objectif de poursuivre la lutte contre les idées du Front National. Nous saluons ce combat courageux car rien ne l’obligeait à prendre ce risque. Mais sa présence dérangeait les combines locales et de la même façon que nous avons été bien seuls pendant la présidentielle à nous battre contre les idées d’extrême-droite. Ainsi, rien ne lui aura été épargné dans cette législative y compris de la part de la direction du Parti Socialiste.
Pour le second tour , le Parti de Gauche appelle à tout faire pour que tous les candidats du Front de Gauche présents au second tour soient élus le 17 juin. Il appelle partout à battre la droite et l’extrême-droite. Compte tenu des positions exprimées dimanche soir par nombre de dirigeants UMP rappelant aux électeurs du FN qu’ils avaient les mêmes valeurs, le Parti de Gauche ne donne pas de consigne de vote en cas de duel UMP-FN.
Le Front de Gauche continue. Les deux campagnes électorales, présidentielle et législatives, ont permis son déploiement dans tout le pays avec de nombreux syndicalistes, militant-e-s associatifs et de jeunes le rejoignant. Il va poursuivre son travail d’enracinement car il est indispensable pour les batailles qui s’annoncent contre les promoteurs des politiques d’austérité dans tous les pays d’Europe.

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