Mar 27

La République, il n’y en a qu’une et on y tient !

republiqueLe Parti de Gauche condamne avec la plus grande fermeté les propos tenus par François Hollande à Ajaccio. La volonté du candidat du PS de vouloir donner des pouvoirs réglementaires et législatifs aux régions porte atteinte à l’unité de la République et à l’égalité des citoyens devant la loi. Après avoir affirmé vouloir faire prévaloir le contrat sur la loi en matière de droit du travail, après avoir proposé plus de décentralisation lors de son intervention au Bourget, après avoir affirmé sa volonté de constitutionnaliser le statut concordataire de l’Alsace-Lorraine, François Hollande porte encore un coup rude à l’unité républicaine. Sa volonté de voir ratifier la charte européenne des langues régionales fait peser le même danger sur la République. François Hollande devrait savoir que la majorité des dispositions prévues par cette chartre s’appliquent déjà, à l’exception de celles censurées par le Conseil Constitutionnel.


Après les propositions de la candidate d’Europe-Ecologie-Les Verts Eva Joly devant l’association Régions et Peuples Solidaires d’instaurer le bilinguisme et de favoriser l’autonomie des régions, la proposition de François Hollande crée une nouvelle division à gauche : l’égalité républicaine d’un côté, le différentialisme de l’autre. Le Parti de Gauche réaffirme le principe fondateur de notre République «une et indivisible» et l’égalité des citoyens devant la loi. Le gouvernement du Front de Gauche devra garantir ces principes. C’est tout le sens de la 6ème République proposée par Jean-Luc Mélenchon.


Commission Justice et Institutions du Parti de Gauche

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Mar 27

Mettons le FN loin derrière

La marche immense du 18 mars a produit un basculement. Plusieurs sondages sont venus le conforter. Nous ne pouvons régler notre pas sur des objets aussi peu fiables et si manipulatoires. Mais ils fabriquent un paysage mental au milieu duquel beaucoup se repèrent. Celui-ci est devenu en quelques jours seulement méconnaissable depuis que la rivière du mouvement populaire est sortie de son lit. Hier il était dominé par le Front national. Ce parti est la véritable clé de voûte de la vie politique du pays. C’est au nom de sa capacité à faire baisser le vote FN que Sarkozy a pu justifier son discours sécuritaire et anti-immigrés auprès des secteurs de la droite qui ne le goûtent guère. C’est au nom de l’épouvantail Le Pen que le PS échappait au débat de fond et qu’Hollande a réduit au minimum son ambition de changement. Si le FN n’est plus la troisième force, cela change tout.
Le bouleversement ne serait pas qu’électoral. Le rapport de forces politique et social serait profondément modifié si l’on se débarrassait de ce poison qui sévit depuis 1983. Trente ans pendant lesquels la mise en cause obsessionnelle de l’immigration est venue masquer l’explosion des inégalités sociales. Trente ans d’affaiblissement de la conscience de classe par la division raciste des travailleurs. Trente ans pendant lesquels le petit propriétaire, surendetté, de pavillon s’est laissé persuader que son ennemi était le locataire de la cité d’en face. Trente ans pendant lesquels des millions de salariés, souvent parmi les plus exploités, parmi ceux qui avaient le plus intérêt à lutter, ont rentré la tête dans les épaules de peur d’être invalidés par la couleur de leur peau.
Bien sûr cela changerait aussi le cours de la politique suivie par la gauche. Même si François Hollande devait devancer Jean-Luc Mélenchon et représenter la gauche au deuxième tour. Car ce serait alors dans une configuration totalement nouvelle de deux forces à gauche, sans vote utile pour le nier, avec un Front de Gauche en dynamique, proposant une alternative programmatique et stratégique à la politique social-démocrate expérimentée partout en Europe et dont Hollande faisait un horizon indépassable. Nous sortirions ainsi du piège grec où 10 plans d’austérité se sont succédés faute d’une alternative de gauche crédible au PASOK. Le grain de sable du Front de Gauche bloquerait l’Europe austéritaire.
L’enjeu est donc immense. Mais il peut se jouer à quelques voix. Il faut donc le conforter puis le confirmer dans les urnes. Pas une voix ne doit manquer au Front de Gauche si nous voulons réussir à battre à la fois la droite et l’extrême-droite pour changer vraiment le pays.

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Mar 19

Communiqué de Jean-Luc Mélenchon.

Communiqué de Jean-Luc Mélenchon.

Je veux dire ma plus vive émotion après les meurtres horribles commis ce matin à Toulouse.

Les pensées de tous les Français se tournent vers les parents, les familles, les enfants déchirés par l’horrible nouvelle. Tous les Français se savent personnellement atteints dans cette circonstance.

Après les meurtres de Montauban, ceux de Toulouse semblent indiquer une démence raciste des criminels. S’il est trop tôt pour en être sûr, il est certain que cela ajouterait l’ignominie au crime.

La solidarité et la concorde que nous manifestons aujourd’hui autour de nos victimes est le meilleur rempart pour l’avenir.

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Mar 19

Le Front de Gauche Savoie était à la Bastille

Ce Dimanche 18 mars, l’évènement du jour était la reprise de la Bastille par le Front de Gauche.bastilleicon1
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Jean-Luc Mélenchon a rassemblé ce dimanche des dizaines de milliers de sympathisants au Front de gauche (120 000)lors d’une grande marche convergeant vers la Bastille où, lors d’un discours à ciel ouvert, celui-ci a dessiné les contours de la VIème République qu’il appelle de ses vœux.
A l’occasion de l’anniversaire du début de la Commune et au lendemain du dépôt officiel des candidatures à la présidentielle, le Front de Gauche a appelé le peuple à reprendre la Bastille.Le Front de gauche Savoie y était (87Content).bastilleicon2
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Mar 17

Meeting du Front de Gauche SAVOIE

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Vendredi 23 mars à partir de 18h30 : soirée festive et politique du Front de gauche au Parc des Expositions à Chambéry
avec Pierre Laurent président du comité national de campagne de Jean-Luc Mélenchon.
– 18h30 – ouverture du village militant,
Rencontres avec tous les candidats aux élections législatives

1ère Circonscription
ANDREYS Brigitte
WILKOWSKY Eric
2ème Circonscription
MORANDINI Henri
HERBINSKI Jocelyne
3ème Circonscription
LEHMANN Christiane
TRIGON Bernard
4ème Circonscription
NIVEAUX Evelyne

– 19h00 à 21h15 -Concerts Musicaux avec :
Leonid
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Ke Onda
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Au cours de ces concerts il sera possible de se restaurer.

– 21h30 – Intervention de Pierre Laurent Président du Comité National de campagne de Jean-Luc Mélenchon

Ce meeting départemental  constituera un des moments forts de la campagne présidentielle du Front de Gauche en Savoie.
Deux cars au moins seront mis en service (vallées de la Tarentaise et de la Maurienne) :

§  17h30 Moûtiers – Place des victoires

§  17h40 Gare de Château Feuillet

§  17h45 Resto routier de Feissons

§  17h50 Resto La Gentilhommière de Cevins

§  17h55 Carrefour de la Bâthie

§  18h00 Albertville – Place du pénitencier

Réservations au 04 79 37 03 21 (Lucien Carrel – pl.carrel@wanadoo.fr ) ou 04 79 32 71 76 (Gérard Simon)


§  18h00 St Jean de Maurienne – Place du champ de foire

§  18h10 Arrêt à La Chambre

§  18h30 Arrêt à Aiguebelle

§  18h40 Péage d’Aiton

Réservations au 06 68 60 05 98 (Dominique Lazzaro – dom.lazzaro@orange.fr) ou 04 79 62 04 13


Le retour des cars se fera avec un départ de Chambéry à 22h30 environ.

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Mar 10

France Palestine Solidarité

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A l’appel de L’ Associtaion France Palestine Solidarité pour la journée internationale des droits des femmes de nombreux militants, le 10 Mars, se sont rassemblés pour exiger la liberation de 8 femmes prisonniéres politiques palestiniennes .
Lina Jarbuni
Wurud Kasem
SAlwa Hasan
Alaa Juabi
Saga Alami
Mufika Qawasme
Muna Abou Sanina
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Ces prisonniéres sont détenues dans des conditions difficiles et soumises à des traitements humiliants. Elles font face à des violations flagrantes des droits de l’homme fondamentaux avec un mépris total des conventions de l’ONU sur les droits humains et les conventions internationales sur le traitement des prisonniers et de la population civile en temps de guerre.
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Mais ce rassemblement  n’etait pas uniquement pour demander la libération des prisonnières mais aussi en soutien à la Conférence des femmes israéliennes et palestiniennes de Beït Ommar près d’Hébron qui a lieu aujourd’hui.
conference

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Mar 10

Insurrection : acte I

La campagne du Front de Gauche et de son candidat Jean-Luc Mélenchon n’est pas une simple campagne électorale. Elle est un grand moment d’éducation populaire, avec comme perspective d’aboutir à la Révolution citoyenne. A six semaines du premier tour de la présidentielle, nous voici engagés dans l’Acte I de cette insurrection civique. Édito de Jean-Emmanuel Ducoin pour le journal L’Humanité
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Le Front de gauche voit plus loin que l’horizon et affranchit ceux qui ont souffert d’années d’humiliations.
« Nous avons allumé la lumière. » Prise isolément, cette phrase que Jean-Luc Mélenchon distille çà et là pour expliquer la démarche fondamentale et presque fondatrice du Front de gauche peut paraître présomptueuse. Elle ne l’est pas. Héritiers que nous sommes d’une illustre tradition politique qui a toujours marié la justice à l’égalité et fiers – oui fiers! – de notre axiome marxien adossé aux piliers des concepts républicains, nous entendons cette phrase du candidat à la présidentielle comme l’un des plus beaux symboles du renouveau « de la » politique. Celui du retour à « quelque chose » d’assez sacré: l’Idée. Mais aussi celui du début « d’autre chose »: une gauche à la main ferme.
Le peuple a de la mémoire. Alors que nous vivons le temps des remuements essentiels (la crise, le capitalisme, le développement, etc.), nous connaissons l’histoire contemporaine, qui, trop souvent, a vu la gauche s’accommoder du « principe de réalité », provoquant ce que certains pouvaient considérer comme un éternel recommencement: une espérance suivie d’une déception… À moins de sept semaines du premier tour de l’élection présidentielle, cette hypothèque sur l’espoir semble levée par la dynamique et la crédibilité du Front de gauche. Si nous n’aimons guère accorder trop de place aux logiques des sondages, néanmoins, les toutes dernières enquêtes d’opinion réchauffent le cœur et l’esprit et témoignent que le Front de gauche vient de gravir une marche importante, comme nous le pressentions. Qu’on se le dise, le citoyen candidat Mélenchon vient en effet de franchir la barre des 10% d’intentions de vote! La gauche de combat, soutenue par un corps électoral solide, est de retour! Il était temps. Non??
Ne le cachons pas. La verve et l’intelligence oratoire de Jean-Luc Mélenchon ne sont pas pour rien dans l’accélération de ce processus populaire, dont nous ne mesurons pas encore toutes les possibilités. Lui-même le répète à souhait «Nous défendons des idées, pas un guide suprême ou un leader.» Tous les artisans de la campagne du Front de gauche présents sur le terrain peuvent en témoigner. Grâce à la diffusion dans le corps social d’un discours de très haute ampleur programmatique, associé à l’élaboration d’arguments offensifs qui ne cèdent plus un mètre de terrain à qui que ce soit, tout devient possible, y compris l’appropriation et la diffusion des idées. On ne s’indigne plus seulement, on propose, on politise. L’ambition est si énorme que nous en tremblons de désir. Pour la première fois depuis des lustres, une grande partie du peuple de gauche, jadis déçu, parfois désespéré parce que trahi par la mise en œuvre systématique d’une véritable pédagogie du renoncement, se sent de nouveau concernée. Ce n’était pas «la» politique qui les avait quittés, mais la confiance dans sa capacité à changer leurs vies. Ils savent désormais qu’ils ont un rôle à jouer…
Il y a du bonheur à réinventer l’à-venir. Le Front de gauche, qui voit plus loin que l’horizon et affranchit ceux qui ont souffert d’années d’humiliations, a pour objectif de réveiller et/ou d’éveiller les consciences. En y parvenant, il redonne aussi de la dignité à tous les citoyens, il les aide à devenir eux-mêmes des acteurs d’idées et des propagateurs du bien commun.
«Le Front de gauche, c’est quelque chose de plus grand que nous», clame Mélenchon.
Ce quelque chose porte un nom: la révolution citoyenne. Et une méthode: l’insurrection civique. Nous en vivons l’acte I. Tôt ou tard, par la Raison et le Combat, cette insurrection bousculera puis renversera l’hégémonie de la gauche gestionnaire. Oui, la lumière est allumée!
Jean-Emmanuel Ducoin

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Mar 04

Action Européenne contre le travail du Dimanche

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Dans le cadre de l’action Européenne contre le travail du Dimanche : Annie David Sénatrice de l’Isère, présidente de la commission sociale du Sénat, auteur d’un projet de loi contre le travail du dimanche et Antoine Fatiga, Conseiller Régional Front de Gauche étaient présents à Albertville

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Mar 03

Traité Sarkozy : pour un référendum contre l’austérité à perpétuité !

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Nicolas Sarkozy vient de signer le nouveau traité européen. Le projet européen désormais c’est l’austérité pour tous et pour toujours.
Avec la règle d’or, le contrôle préalable des budgets nationaux par la Commission européenne et des sanctions automatiques, ce traité frappe le cœur de la souveraineté du peuple français, la souveraineté budgétaire. C’est donc un traité odieux.
Dans l’immédiat, la signature de la France est engagée. Mais le traité n’est pas encore ratifié. Il est insupportable que Nicolas Sarkozy et François Hollande refusent que la ratification soit soumise à référendum !
Pourquoi ? Parce qu’ils savent que les français ne veulent pas de cette Europe. Pour nous commence une lutte sans répit.
Quoi qu’il arrive la résistance face à ce coup de force est désormais un devoir.
Jean-Luc Mélenchon

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Mar 02

Ecole, les faux-semblants de François Hollande

On connaît désormais un peu mieux les projets de François Hollande pour l’enseignement et la recherche. Force est de constater qu’ils ne sont pas à la mesure des difficultés et des attaques que subit le service public. Certes, la volonté exprimée par le candidat du Parti socialiste d’inverser la politique éducative en matière d’emploi va dans le bon sens. Et ses intentions pour l’enseignement maternel et élémentaire ou pour la formation méritent attention. Mais l’absence de prise en compte des transformations qu’a connues le service public laisse pantois : rien sur la mise en concurrence des établissements, rien non plus sur la désectorisation, toujours rien sur la transformation managériale des fonctions de responsable d’établissement ! C’est ainsi toute l’offensive du néolibéralisme sur le terrain scolaire qui est purement et simplement ignorée, alors même que l’on sait aujourd’hui à quel point ce type de politique ne fait qu’aggraver les inégalités et tirer vers le bas l’efficacité d’ensemble du système.

Pire : de nombreux éléments attestent d’une volonté de poursuivre voire, à certains égards, d’aggraver cette politique. Ainsi, dans l’enseignement supérieur, non seulement il n’est nullement question d’abroger la loi libertés et responsabilités des universités, mais il faudrait accélérer la «mise en œuvre des investissements d’avenir». Les gels de postes et l’arbitraire des répartitions de crédits pourront ainsi se poursuivre sans encombre.

Dans les enseignements primaires et secondaires, il n’est pas envisagé de compenser les inégalités entre collectivités territoriales et un «nouvel acte de la décentralisation» pourrait bien s’appliquer. La récente réforme des lycées n’est pas remise en cause alors qu’elle affaiblit les différentes séries, met en péril la voie technologique et installe une organisation locale des enseignements. Le «socle commun de connaissances et de compétences» est conforté, en lieu et place des programmes nationaux. L’école à plusieurs vitesses pourra ainsi s’installer toujours plus au cœur même des processus d’apprentissage. Loin de reconnaître à l’école sa visée émancipatrice, ce projet institutionnalise la fracture sociale de la jeunesse, avec ses établissements fermés pour les fauteurs de troubles et le service civil pour les déscolarisés.

C’est comme si les grandes mobilisations des jeunes, des parents et des personnels n’avaient pas existé, de 2003 à 2011, contre la loi de décentralisation, contre la loi d’orientation, les réformes universitaires ou la réforme du lycée.

Cette incompréhension manifeste à l’égard de tous ceux qui défendent la cause du service public s’exprime aussi dans l’absence de propositions concrètes pour améliorer le fonctionnement démocratique et le rayonnement de l’école laïque. On ne trouve rien, par exemple, sur le statut de parent délégué, qui permettrait une participation plus active et socialement plus diversifiée des parents d’élèves. La place des associations complémentaires de l’école est également passée sous silence, alors qu’elles ont un rôle majeur à jouer pour reconquérir le terrain occupé par toute une série d’officines. La question de la gratuité n’est pas abordée.

Enfin, la mesure phare du programme de François Hollande, les «60 000 postes», apparaît bien insuffisante pour atteindre l’ensemble des objectifs fixés. Rappelons que c’est plus de 70 000 postes de différentes catégories de personnels qui ont été supprimés de 2008 à 2012 et que le petit baby-boom des années 2000 entraînera mécaniquement une augmentation des effectifs de l’ensemble des niveaux d’enseignement. En réalité, le projet de François Hollande prétend réaliser l’impossible en matière d’emploi public : répondre un tant soit peu aux besoins sociaux tout en respectant la politique d’austérité de l’Union européenne. Le redéploiement des postes de fonctionnaires devient alors la seule variable d’ajustement possible, selon le trop fameux principe du «déshabiller Pierre pour habiller Paul».

Il n’y a ainsi guère d’autre cohérence au projet de François Hollande que celle consistant à s’ajuster le moins mal possible aux prescriptions éducatives et économiques du néolibéralisme. L’urgence de la situation scolaire est pour le moins ignorée et l’ambition pour le service public fait singulièrement défaut.

Par GÉRARD ASCHIERI Syndicaliste, BERTRAND GEAY Sociologue, CHOUKRI BEN AYED Sociologue, CHRISTINE PASSERIEUX Militante pédagogique. Les auteurs sont tous membres du conseil de campagne du Front de gauche.

Tribune publiée dans Libération du 29 février 2012

 

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