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Rendez vous réussi pour toutes les organisations appelant à la manifestation contre le projet de loi du gouvernement sur les retraites. Dans toute la France nous annonçons plus de 2,8 millions de manifestant avec un nombre très élevé de grévistes !

Sur Chambéry nous comptions environ 10 000 manifestants qui nous amène à un des meilleurs rassemblement depuis le 29 février 2009.

De quoi faire douter le gouvernement ? Non pensez vous ! Ils continuent leur démolition et notamment celle des retraites avec une arrogance démesurée. Mais c’est sans compter sur la détermination des manifestants qui ne sont pas prêt à laisser filer des jours de grèves pour rien et comptent bien aller au bout de leur initiative ; faire tomber le projet de loi qui passerait la durée légale de la retraite à 62 ans au lieu de 60 et amènerait la durée de cotisation pour une pension à taux plein à plus de 67 ans !

Ce même jour, une étude Suisse nous révèle que la durée de vie en bonne santé des français est en train de s écrouler à 61 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes. Cette baisse de l’espérance de vie en bonne santé est notamment due au stress au travail, la pollution… toutes ces bonnes choses que nous offre le système capitaliste.

La lutte doit continuer pour tous et que chacun se sente concerner par cette réforme car elle touche tout le monde ! Nous devons en parler autour de nous pour rassembler la maximum de monde !

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C’est une honte ! Une indignité ! La France est bafouée ! On se moque de la tête des Français ! De quoi s’agit-il ? De notre système de retraite piétiné ? Non. De la très fâcheuse collusion entre les grands de ce monde, riches à milliards, et les membres du Gouvernement ? Pas du tout. Que la gestion de l’eau potable soit confiée à 70 % à des multinationales avides de profit ? Vous n’y êtes pas du tout.

Si le gouvernement s’émeut, si le Président s’en mêle, si la presse ne parle que de ça, c’est qu’il s’agit… de foot !

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Le 10 juin 2010 à Pau aura lieu le procès des 6 « outrageurs » du Préfet des Pyrénées-Atlantiques. En juillet 2008 la famille Kuka, un couple de nationalité albanaise et leurs deux enfants de cinq et sept ans, palois depuis deux années, ont été placés en rétention à Hendaye.

Six personnes les ayant soutenus par courriel, adressé au Préfet des Pyrénées-Atlantique, sont convoquées le 10 juin prochain au tribunal de Pau et sont poursuivies pour outrage à « personne dépositaire de l’autorité publique », délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 euros d’amende.

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Communiqué de Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de Gauche

Les premiers chiffres connus comme base de travail des travaux du Conseil d’orientation des retraites fonctionnent comme un assommoir.

Au ridicule de prévisions économiques formulées pour les 40 prochaines années, alors que nul ne connaît la situation prévisible pour les trois prochains mois, s’ajoute d’étranges approximations.

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Une déclaration intitulée du « groupe d’élu(e)s du Front de Gauche » a été envoyée à la presse vendredi dernier, signée de 8 élu-e-s régionaux sur les 10 des listes « Ensemble pour des régions à gauche ».
Certain-e-s d’entre vous se sont étonné-e-s, à juste titre, de ne pas voir apparaître nos deux noms aux côtés de nos 8 camarades élu-e-s du PCF, de la GU et du mouvement social. Nous avons nous-mêmes découvert que cette déclaration avait été envoyée à la presse passant outre notre avis. Il nous a dès lors paru important que chacun-e puisse disposer des éléments de contexte et de notre appréciation sur la situation actuelle et les éléments contenus dans cette déclaration.

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Marc Dolez est intervenu, le 18 février à la tribune de l’Assemblée Nationale, pour dénoncer la réforme territoriale voulue par le gouvernement.

Ci-après le texte de son intervention.

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Samedi 23 janvier 2010 à 15 heures, Place de la Sasson à Chambéry

Alors que le Président Obama a décidé d’envoyer 30 000 soldats supplémentaires en Afghanistan, le Président Sarkozy a prévu d’annoncer lors de la Conférence de Londres le 28 janvier les détails de la contribution française.

Depuis 8 ans 110 000 soldats ont été déployés pour une guerre qui, plutôt que d’améliorer le quotidien de la population afghane, n’a fait que développer le terrorisme par réaction aux nombreuses victimes afghanes qui paient le plus lourd tribut. Parallèlement, le sort des femmes ne s’est pas amélioré, le trafic d’opium s’est amplifié et la corruption règne dans tous les rouages du gouvernement Karzaï.

170 milliards ont été engloutis dans la guerre alors qu’ils auraient dû être consacrés au développement de l’économie, à la modernisation du pays, aux besoins alimentaires, à la construction d’écoles, de routes et d’hôpitaux.

Ces nouveaux renforts ne feront qu’aggraver la situation et nous assisterons à un enlisement qui ne fera qu’ajouter à la détresse du peuple afghan qui, après 30 années d’occupations étrangères et de guerres civiles, n’aspire qu’à vivre dans un pays en paix.

Afin d’exiger du gouvernement français qu’il renonce à envoyer des renforts et pour exprimer notre solidarité au peuple afghan, le Parti de Gauche a signé l’appel du Collectif OTAN AFGHANISTAN.

Des mobilisations auront lieu au Royaume un et dans de nombreux pays autour de la Conférence du 28 janvier ainsi qu’à Paris.

Aussi, nous appelons les militants du Parti de Gauche à venir nombreux pour manifester leur REFUS DE RENFORTS EN AFGHANISTAN SAMEDI 23 JANVIER 2010 à 15 heures – Place de la Sasson à Chambéry. (RDV pour le PG : à l’angle du musée des beaux arts). Merci de venir avec badges et drapeaux.

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Alors même qu’une consultation citoyenne a recueilli plus de 2,3 millions de signatures en faveur d’un référendum sur l’avenir de la Poste, le Président de la République s’empresse de faire voter au Parlement un texte qui conduit inéluctablement vers une privatisation du service postal dans notre pays. Cette volonté de passer outre le souhait de nos concitoyens d’être consultés montre à quel point le Président et sa majorité ont peur d’être désavoués par les urnes et méprisent les citoyens.

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« Face à la droite, il faut une gauche de combat! »

Lundi 30 novembre 2009

« Depuis la victoire de Nicolas Sarkozy à l’élection présidentielle et la nomination des gouvernements Fillon après les législatives de 2007, la France populaire n’a pas cessé de subir les mauvais coups de la droite. Faut-il en rappeler la liste ? Remise en cause du droit à la retraite, dépeçage progressif de la protection sociale, casse du droit du travail, privatisations de services publics, réforme fiscale favorable aux plus riches, mise au pas de la justice, mépris de la jeunesse, de l’université et de la recherche…

Devant cette offensive, le pays a clamé à de multiples reprises son refus des politiques néolibérales et démontré son attachement à notre modèle républicain et social. Il l’a fait dans la rue avec des manifestations massives et lors des municipales de 2008. Mais les gouvernements de droite ont refusé systématiquement d’écouter. Ils ont choisi d’aggraver la crise du pays en méprisant délibérément la volonté populaire.

Face à une telle droite, il faut une gauche de combat. Face à la crise historique à laquelle ont conduites les politiques libérales, il faut une gauche audacieuse proposant au pays des ruptures avec la logique destructrice du capitalisme.

Hélas le Parti socialiste a pris le chemin inverse. Dans l’illusion des victoires locales, il se dissout dans des querelles de leadership absconses, confirme son adhésion à la construction libérale de l’Europe et cherche son salut dans des coalitions avec le MODEM.

Ne me sentant plus en phase avec la politique conduite sur le plan national au PS qui condamne la Gauche à perdre la présidentielle, j’ai décidé, en conscience, de quitter le Parti Socialiste.

Je veux œuvrer efficacement à l’union de la gauche pour changer la vie vraiment. Je veux travailler à la réinvention d’une gauche populaire fière de ses couleurs. Je veux m’engager pour faire gagner la gauche en 2012. Je veux être une socialiste utile à mon pays. C’est pourquoi je décide de rejoindre le Parti de Gauche et j’invite les socialistes qui partagent mes convictions à faire de même. »

Christine CAUET, conseillère générale de la Loire

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